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Une coupe de France dans la vitrine pour Metz, Palente et Saintes


crédit photo : FFHandball/IconSport


Un dernier week-end placé sous le signe de la coupe de France avec la grande finale féminine entre Metz et Dijon qui voit les Messines soulever le trophée (29-20). Une 12e coupe va embellir la vitrine du club lorrain qui peut réaliser un triplé cette saison avec encore le championnat et la Ligue des champions dans le viseur. Saintes chez les masculins et Palente chez les féminines remportent eux aussi la coupe de France fédérale.


L’Adidas Arena Porte de la Chapelle résonnait bon la Coupe de France ce samedi avec 3 finales au programme. Pour conclure cette compétition, les finales fédérales nationales féminines/masculines et le clou du spectacle avec la grande finale entre Metz et Dijon. 


Palente et Saintes au rendez-vous


Il y restait encore deux trophées à attribuer pour les équipes de nationales et Palente qui va retrouver la D2 soulève la coupe de France féminine aux dépens de l’Union Pays d’Aix Bouc (33-18). Les Bisontines se sont mises à l’abri après 20 minutes de jeu pour prendre les commandes de cette finale (7-7, 15-9, 21-10, 30-17).


La finale masculine entre Saintes et l’Elite Val-d’Oise, deux équipes de la poule fédérale de N1 et cette saison en championnat, le collectif de Charente-Maritime s’est imposé par deux fois. Les hommes de Pierrick Verdier remettent le couvert en coupe cette fois et s’envolent au retour du vestiaire (4-8, 9-13, 17-18, 20-20, 30-27, 36-32). Val-d’Oise a bien résisté après avoir mené la danse, mais une fois de plus le mot de la fin revient aux Saintais (40-33).


A Metz la coupe !


Avant de boucler une saison chargée avec encore le championnat et le Final 4 de la Ligue des champions comme objectifs, Metz passe sans encombre la première étape avec ce succès en finale devant Dijon (29-20). Une nouvelle coupe de France pour les Messines devant des Dijonnaises qui comme en championnat se sont battues avec leurs armes. L’issue restait indécise au terme d’une première mi-temps qui voyait bien les joueuses d’Anthony Favier tenir tête aux championnes de France avec une seule longueur de retard à la pause (15-14). Après avoir manqué deux balles d’égalisation, Dijon laisse passer sa chance et en face, les Sako, Valentin, Chambertin et autre Jorgensen se montrent intraitables côté lorrain (19-14, 24-17, 27-20). Cette fois, cette finale tombe dans la besace des joueuses de Manu Mayonnade qui soulèvent fièrement leur 12e coupe de France féminine.


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