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Le choc de Starligue tourne en faveur du PSG devant Nantes !

Pour la conclusion de la J5 en Starligue, la victoire de Paris sur Nantes lors de l'affiche XXL (35-32). Sans oublier la remontada de Dunkerque sur les terres de Saint-Raphaël (38-38) et le Fenix Toulouse en balade chez Cesson Rennes (24-32). Du suspense à tous les étages !

L’affiche de cette cinquième journée de championnat entre Paris et Nantes a tenu ses promesses avec une nouvelle victoire du champion de France au finish (35-32). Tout se joue dans les ultimes minutes après que l’international Thibaud Briet n’égalise (32-32), le PSG a su se montrer patient pour inscrire un 3/0 décisif. Steins et Syprzak (8 buts) profitent de l’exclusion du nantais Toto et Mathé parachève le succès parisien. Auparavant, le H avait sorti son costume de patron pour dominer la rencontre (3-7 / 14-19 / 15-22 / 24-27). Grebille égalise (24-24) puis s'ensuit un véritable chassé croisé et une fin de match tendue. La suite tourne en faveur des Parisiens qui ont pu profiter des approximations nantaises dans le fameux money-time.


Un nouveau scénario de folie dans cette Liqui Moly Starligue avec le nul décroché par Dunkerque du côté de Saint-Raphaël (38-38). Un premier acte sous l’emprise varoise (22-16) et les Nordistes prennent la foudre en seconde avec huit longueurs de retard (28-20). Tout semblait réussir aux partenaires de José Marquez (8 buts) même en infériorité numérique (33-27). Le SRVHB comptait encore trois buts de mieux (38-35) avant de déjouer totalement. Tom Pelayo (10 buts) et les Dunkerquois sortent de leur boîte pour égaliser au buzzer ! Une incroyable remontée de la part des Nordistes et soupe à la grimace côté varois.


Dans la seconde rencontre du samedi soir, le Fenix Toulouse enchaîne parfaitement après sa victoire contre Chartres sur le terrain de Cesson Rennes (24-32). Les joueurs de la ville rose perdent définitivement Diallo (rouge) en première mi-temps, mais dominent les échanges (13-17 MT). Les Bretons acculés parviennent par intermittence à réduire l’addition, mais jamais Robin Molinié (7 buts) et ses camarades n’ont trouvé les solutions à leurs maux.


Sébastien

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