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En Loire Atlantique, la marée violette a submergée le PSG !



Un dimanche après-midi en Loire-Atlantique qui réuni pas loin de 6000 spectateurs pour un classique désormais en Liqui Moly Starligue, à savoir l'affiche XXL entre Nantes et le PSG. On ne déroge pas à la règle et au sortir d'un gros combat, le mot de la fin revient aux...Nantais qui dans la masse d'un énorme soutien populaire font tomber le champion de France (32-30).


Sans jamais mettre en doute la ferveur populaire de la XXL Arena, une fois le spectacle et les belles animations lors de la présentation des équipes passées, les différentes acteurs vont attaquer pied au plancher. Une fois de plus, ce diable d'Aymeric Minne (6 buts) va régaler ses partisans en étant au four et au moulin. Le break de 3 buts du H n'est pas étranger aux performances de son stratège dans son rôle d'animateur du jeu (9-6). Comme souvent dans ces chocs et preuve à l'appui du passé, Paris libéré se révolte et autour du taureau Elohim Prandi (11 buts ce dimanche), le visiteur de la capitale égalise puis passe devant avec un rythme de croisière de 2 buts (11-13, 17-19, 24-26).


Une histoire de penaltys et de gardiens ?


Il n'est jamais simple de passer son temps et mettre son énergie à courir derrière un adversaire qui vous met deux buts dans la musette après chaque égalisation. Ce scénario se produit pour les Nantais qui ne manquent pas d'envie pour recoller à plusieurs reprises aux basques parisiennes (16-16 MT, 23-23,29). On pense notamment lors du penalty manqué par Valero Rivera devant le jeune Léo Villain qui trainera sa longue silhouette la saison prochaine du côté Sélestat. De l'autre côté, heureusement que le joker médical Ignacio Biosca entré à la pause en lieu et place d'Ivan Pesic a eu l'excellente idée de mettre en échec dans ce même exercice, Syprzak et Balaguer. Deux sérieux clients ! C'est d'ailleurs, le portier ibère qui a joué son rôle dans le money-time alors que les occasions d'enfoncer le clou étaient dans les mains du PSG.


Les nerfs et le savoir faire des joueurs de la capitale ont souvent fait la différence pour gérer au mieux les minutes clés. Cette fois, ces petits éléments ne vont pas sourire avec un ballon perdu en attaque pour une passe hasardeuse vers Syprzak et un Julien Bos (4 buts) en finisseur des hautes œuvres dans les rangs ligériens. Cette fois, ce +2 en faveur du H (31-29), s'avère décisif après un tir dans les nuages de Prandi et Théo Monar qui peut lever le doigt vers les tribunes en trompant Green.


L'entraîneur de Nantes, Grégory Cojean avait mentionné dans la presse que le PSG avait déjà quasiment le titre en poche, mais un choc face au leader, important dans l'optique de capitaliser la seconde place. Qui donnera un ticket pour la Ligue des champions la saison prochaine. Le technicien nantais a eu le nez creux ! Ce qu'il faut malgré tout retenir est que Paris tombe pour la première fois cette saison en championnat.

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