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Coupe de France (M) | Qualification en demi-finale validée pour les favoris


Pour ces quarts de finale, le dernier carré de cette Coupe de France masculine n'offre aucune surprise majeure. La logique du terrain est respectée, même si Toulouse a connu un scénario plus compliqué que les trois autres qualifiés devant Cesson.


Montpellier et Nantes étaient les premières équipes à prendre leur aller simple en demi-finale. Ce samedi soir, les Montpelliérains recevaient Dunkerque et se sont rapidement mis à l’abri après seulement dix minutes de jeu (+5). Rémi Desbonnet (10 arrêts), le nouveau champion d’Europe ferme la boutique, tandis que la jeunesse héraultaise à l’image de Lucas Guigon (3) et Kylian Prat (6) se met en lumière. Les Nordistes dominés sur tous les plans ne baissent pas la tête avec la recrue Nielsen ou le gaucher Pelayo, mais sans mettre de doute sur l’issue de cette rencontre. C’est en toute maîtrise et avec application que les hommes de Patrice Canayer cherchent une nouvelle demi-finale (36-26).


De leur côté, les Nantais qui comptent encore pas mal d’absents (Ovnicek, Odriozola, Monar, Briet) repartent en 2024 sur une bonne note pour la réception de Saint-Raphaël (34-25). Ce fut un peu plus long pour le H qui s’est mis définitivement mis à l’abri des Varois en seconde période. Un début de rencontre sérieux (4-1) avant le retour en force pour le SRVHB porté par Caucheteux (7-7). Un duel d'ailiers dans ce match entre Avelange-Demouge (12) et Raphaël Caucheteux (7) pour voir les Ligériens rentrer devant aux vestiaires (16-13) avant une nouvelle réaction adverse (20-20). Ivan Pesic (14) reste sur son rythme dans son but et ses équipiers prennent la bonne tangente avec un 6-0 qui s’avère définitif (26-20 puis 30-24). L’affaire est pliée et le dernier carré n’échappe pas aux hommes de Cojean. 


Ce dimanche, les deux derniers quarts de finale et la logique du terrain est respectée pour le PSG et le Fenix Toulouse. Pour son grand retour à Coubertin, le club de la capitale assure son sujet devant l’USAM Nîmes (30-22). Si l’intensité baisse lors de la seconde période, Paris avait déjà fait le nécessaire pour s’assurer le chemin vers la demi-finale (15-10/21-12/28-18). Nikola Karabatic et ses camarades n’ont jamais tremblé devant les Gardois avec de nombreuses rotations opérées sur ce match de reprise par Raul Gonzalez.


Le dernier ticket du dernier carré revient aux Toulousains qui eux aussi ne gâchent pas cette opportunité, malgré la belle opposition proposée par Cesson-Rennes (28-25). La réussite du gaucher algérien Abdi ne suffit pas pour éviter un début de match hasardeux des joueurs de la ville rose (-4). Une fin de premier acte qui s’équilibre progressivement et le Fenix prend la tête avant la pause (13-12). Une fois de plus, le mano à à mano s’engage dès la reprise et ce n’est que lors des cinq dernières minutes que la situation se décante en faveur des locaux (25-24). La défense toulousaine et le gardien Lettens font bonne garde. Les Bretons n’ont plus les arguments pour contester la prise de pouvoir des équipiers de Gabriel Nyembo.

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