Suite de la J23 de Starligue et 3 victoires à l'extérieur ce vendredi soir. Cesson-Rennes fait forte impression du côté de Saint-Raphaël, tout comme Toulouse qui se reprend à Créteil. Dans un match entre concurrent direct pour le maintien, Istres signe une victoire ô combien importante sur le parquet de Chartres.
Brillant vainqueur de Chambéry avant de perdre d'une courte tête à Limoges, la formation de Saint-Raphaël manque une belle occasion en recevant les Irréductibles de Cesson-Rennes (23-29). On enchaîne dans les rangs Bretons avec une seconde victoire consécutive et à l'extérieur. Privés rapidement de Dipanda (rouge à la 4'), les Varois mènent au score avant de perdre pied en toute fin du premier acte puis en seconde période. Arnaud Tabarand et sa défense font la différence pour voir Cesson s'envoler au tableau d'affichage pour gérer son affaire.
Une seconde victoire pour le visiteur du soir et le Fenix Toulouse qui retrouve le sourire du côté de Créteil (30-36). Le retour du buteur maison Nemanja Ilic (12 buts) est salvateur dans les rangs toulousains qui prennent les commandes au retour du vestiaire. Dans le coup au sortir des 30 premières minutes (17-17), Mario Lopez (8 buts) et les Cristoliens perdent le fil (-5) et une vaine course poursuite jusqu'au buzzer final.
Pour conclure la soirée, Chartres et Istres deux adversaires directs pour assurer leur place au plus haut niveau français se sont retrouvés dans une rencontre des plus indécises de bout en bout. Le mot de la fin revient aux Provençaux qui se donnent des motifs d'espoirs (25-26). Une belle opération comptable pour les hommes de Gilles Derot qui recollent à 2 petits points de leur adversaire du soir et d'autant plus au vue du succès de la lanterne rouge Sélestat ce jeudi (article précédent). Les deux équipes jouent au yoyo pendant la première mi-temps et par Vanja Ilic (10 buts), les Chartrains prennent la tête à la pause (15-14). Scénario identique par la suite et le duo Dentz / Martinon permet aux Provençaux de chercher les points, tout comme Clément Gaudin (photo ci-dessus) qui s'interpose à quelques secondes du terme.
Sébastien
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